mercredi 13 mars 2013

Nous avons un pape :)

Ce soir, notre Pape a été élu ! Alléluia :)
C'est le Cardinal Bergoglio qui a été élut, jésuite et archevêque de Buenos Aires en Argentine !
Il s'est choisi comme nom celui de François. Il aime et défend les pauvres, alors se nommer d'après St François d'Assise, c'est bien pensé... Et tout à fait pour me plaire ! :)
François 1er s'est pourtant présenter humblement comme le nouvel évêque de Rome, sans citer le mot de pape une fois dans son intervention.
Et pour couronner le tout, ce qui me plait vu mes études... Il a été prof de psycho :)

Je n'en sais pas encore beaucoup sur lui et il faut que j'aille me documenter. Mais je crois qu'il n'a pas été choisi seulement par les Cardinaux qui ont papoté entre eux, mais bien aussi par l'Esprit Saint. Quels besoin y avait-il de se stresser avant la divulgation de son nom? Ne devions-nous pas faire confiance à Dieu dans son choix? Et aux cardinaux pour avoir le cœur ouvert à Ses attentes?
Moi, je suis satisfaite, alors que je ne sais quasiment rien de lui. Mais surtout, je suis confiante parce que Dieu a choisi ce qui était bon pour nous selon Lui, et c'est rassurant :)

Vive notre Dieu fidèle, aimant et créatif <3





lundi 18 février 2013

Percy Jackson again

Voici un texte sur un personnage plus ou moins secondaire de la séries Percy Jackson (cela dépend du tome que vous ouvrez). Rachel :)
Je l'ai écrit quand j'ai découvert, sur deviantart, que plein de gens la détestait. Hein? Plait-il? Détester Rachel? Mais pourquoi ?! En fait, je suis sûre que ceux qui déteste Rachel sont ceux qui aime dur comme fer le couple que forme Percy avec sa copine et qu'il ont horreur de voir Rachel plus ou moins se rapprocher de lui. (Voyez comme j'évite les spoilers à ceux qui voudraient les éviter :D)
Mais je me suis dis que peut-être, ces gens-là, il ne là comprenne pas, Rachel. 
C'est vrai, parfois la haine découle de l'incompréhension, du refus de découvrir les autres...

Alors moi, je me suis plongée dans l'enfance de cette belle petite rouquine, en espérant vous la faire connaitre, et expliquer son comportement futur ! :)

Quand je serai motivée, j'en écrirai d'autre. Celui-ci dépeint la facette la plus sombre et triste de Rachel... Mais elle n'est pas toujours comme ça :)

Enjoy !

Sombres nuits de doutes.

Il est tard, je suis roulée en boule dans mon lit, les draps chiffonnés pendant d’un côté, des oreillers de toutes parts. Décidément, on ne dort pas mieux dans un grand lit rond que dans un lit double classique.
C’est encore une de ces nuits où mon esprit fonctionne à cent à l’heure, où ma vie me parait impossible, incompréhensible, où toute ma bonne humeur disparait, ma joie de vivre vole en éclat ; un de ce soir où j’aurais besoin que quelqu’un vienne me rassurer… mais je suis seule, comme d’habitude. Seule dans ma suite de 120m², en dessous de celle de mes parents, au-dessus de nos trois salons, cuisine et pièce à vivre.

Je n’arriverai pas à dormir. Lasse, je m’assoie sur mon lit, recoiffant d’une main les mèches folles qui me chatouille le visage. Faire le point ne me fera pas de mal.
J’ai eu 14 ans il y a peu. Je m’appelle Rachel. De mon nom complet : Rachel Elisabeth Dare. Un nom pompeux que j’évite de mettre en avant, que je tiens de mes… parents, évidemment. C’est grâce à la fortune de mon père, promoteur immobilier, que, contrairement à toutes les filles normales de mon âge, j’ai une suite, et non une chambre. Promoteur immobilier : « travail consistant à détruire des kilomètres carré de nature, bétonner le tout, et en faire des grands bâtiments d’hommes d’affaires. » Un boulot à pleins temps, qui lui rapport gros, très gros, et quel que soit l’avis de maman là-dessus, elle ne dit rien parce qu’elle est tout à fait satisfaite de pouvoir faire du shopping tous les jours, s’acheter mille paires de chaussures et des kilos de nécessaire à maquillage.
Je ne vois que rarement mes parents, et je m’en fiche. Je ne suis pas en accord avec eux, et je n’ai surtout pas envie de leurs ressembler. Je veux voler de mes propre ailes, me différencier. Je veux peindre, sculpter, faire des manifs avec des potes écolos, aider les plus démunis et sécher les cours. En soit, la crise d’adolescence classique. Pas de quoi s’affoler… Si seulement il n’y avait que ça.

Depuis toute petite, je vois. Je les vois, ces créatures, ces monstres, qui hante parfois les rues de Manhattan. Mais je suis la seule… j’ai froid dans le dos. Pourquoi est-ce que je vois des monstres ? Les autres font-ils semblant de ne pas les voir ? Est-ce que je les invente ? Est-ce que… je suis folle ?
Je respire un bon coup, et allume la lampe de chevet. Et je sors ma plaque de chocolat. Faire le point, faire le point. Ne pas céder à la panique. 

La première créature que j’ai vue n’était pas un monstre. C’était une sirène. J’avais 6 ans. Mes parents venaient d’acheter un yacht, et pour les vacances, nous avions fait une croisière. J’étais sur le pont, les yeux rivés sur l’eau, quand elle est arrivée. Elle allait très vite, elle avait des écailles brillantes sur sa queue de poisson, de longs cheveux verts, la peau très claire. Elle est passée tout près de nous, et son regard a croisé le mien. J’ai compris qu’elle m’avait vue ; j’étais émerveillée, je criais à ma mère de venir voir. Un instant, elle s’est arrêtée, puis elle m’a fait un petit signe de main et s’est enfoncée à nouveau dans l’eau. Ma mère arrivait, mais elle n’a vu, d’après elle, qu’un gros poisson verdâtre. J’ai eu beau lui dire que c’était une sirène, tous les jours qui suivirent, et le dire à mon père aussi, elle ne m’a jamais cru. Elle m’a dit que les sirènes n’existaient pas ; je lui ai répondu que la petite sirène, Ariel, existait. Elle m’a rabroué en me disant que les dessins animé ne disaient pas la vérité, que le père noël n’existait pas non plus, et que c’était malsain de dire à tout le monde que je voyais une sirène. De délicieuses vacances.

Suite à ce premier contact, j’ai vue divers autres créatures, beaucoup moins sympathiques. Vers mes 10 ans j’ai vu une bête féroce, tous crocs dehors, qui courrait sur la route et s’est enfoncée dans une ruelle sombre. J’ai hurlé de terreur, bien sûr. Mes camarades se sont moqués de moi, ils regardaient au même endroit et n’avaient rien vu. La maîtresse qui a tenté de me calmer, a conclu que j’avais beaucoup d’imagination. Ma mère a approuvé avec un sourire navré.
J’ai croisé un jour un homme dans la rue, qui m’a salué. Il n’avait qu’un œil, un seul, au-dessus du nez.
J’ai déjà entendu des statues se parler, dans un parc.
Et puis un jour, j’ai vu un groupe de personne être attaqué pour une affreuse créature, terrifiante, un visage humain ridé et fripé, des petits yeux méchants, des ailes de chauve-souris ; elle griffait et pinçait le visage des passants paniqués, dans un cri strident de satisfaction. Je ne sais pas pourquoi elle les a attaqués. Quelques instants plus tard elle battait en retraite, visiblement apeurée, mais de là où j’étais – à l’intérieur d’une bouquinerie – je n’ai pas pu voir ce qui l’avait fait fuir. Je suis sortie. C’était l’occasion ou jamais de me prouver que je n’étais pas folle : une dizaine de personnes avaient été agressé ! Mais leurs versions des faits ne fut pas ce que j’espérais. Tout le monde s’accordait pour dire qu’ils avaient été attaqués pas un aigle particulièrement grand et particulièrement intrépide. Qu’un aigle se retrouve un plein cœur de Manhattan ne les choquaient apparemment pas. Ils avaient vu un aigle et ne cherchaient pas plus loin. Et moi… j’étais complétement perdue. J’essayais sans y croire de me dire que j’avais mal vu…

Ce n’est pas normal ! Soit c’est moi qui suit folle, ce qui est probable, tout le monde et contre moi – et encore, la quantité ne fait pas la vérité. Soit, ce sont eux qui sont fous, qui se voilent la face, se laissant attaquer et dépasser, mais trouvant toujours une explication « logique » à cette vérité monstrueuse !
Je suis encombrée de mille questions existentielles : Est-ce que je vis dans la réalité ? Ou dans un rêve ? Suis-je réelle ? Existe-t-il plusieurs mondes ? Est-ce que je suis à ma place ?
Je ne peux tragiquement me confier à personne ; Mes parents n’y comprennent rien, ils ne voient pas, et si j’insiste trop ils risquent de m’envoyer chez un psy, qui n’attendrait qu’un aveu pour me faire enfermer. Et je ne veux pas m’adresser à ces créatures, de peur que, réalisant que je les vois, elles m’attaquent. Et certaines de ces créatures ne doivent même pas savoir parler… les bêtes féroces, les fantômes… Peut-être qu’aucune ne parle. Peut-être qu’aucune n’existe…
 
Si cette maison était plus chaleureuse, plus vivante, et mes parents plus… abordables, je crois que je ne sortirai plus du tout d’ici. Seulement ici, c’est l’ennui qui me tue à petit feu. Alors autant risquer de mourir sous les griffes d’une créature qui n’existe peut-être pas, mais pouvoir profiter de l’affection de mes amis…

Je me roule en boule sur mon lit, guettant d’un œil fiévreux mon immense chambre, mes armoires, mes vêtements qui trainent, mes toiles, ma chaine hifi, tout, chaque détail. C’est le petit jour et les ombres s’étirent aux pieds de tous ces objets, d’une manière peu rassurante… J’ai 14 ans, et je n’en sais pas plus que quand j’en avais 6. La nuit ne porte pas conseil, comme on dit, et peut-être que demain je croiserai un zombie, pour me convaincre une fois de plus que je suis folle. J’ai peur…

Faire le point n’a servi à rien, évidemment… Seulement à m’inquiéter… Trouverai-je un jour quelqu’un qui voit les mêmes choses que moi ? Quelqu’un capable de me prouver que je ne suis pas folle, qui voudrait bien écouter tout ce que j’ai vu sans me juger ? Est-ce qu’un jour j’obtiendrai des explications, des réponses logiques à ces visions de malheurs ? Je ne veux plus vivre en faisant croire aux autres que tout va bien… Je suis épuisée… épuisée de tout cela.

Je tombe enfin dans le sommeil, les idées embrumées… Puissais-je un jour sortir de cette maudite brume…

mercredi 13 février 2013

Le coming out

Aujourd'hui, gentes dames et gentleman, je fais mon coming out :)

J'ai décidé que ça suffit, je vais parler, je vais le dire, je vais le faire éclater à la face de ce blog hautement connu des médias et de la presse, vu par des milliers de personnes chaque jour, ce blog qui concurrence celui de Pénélope Jolicoeur ou le compte twitter du pape, ce soir, cette belle nuit, je fais mon coming out !

C'est très en vogue ce ce moment, non? Orf ben, on en parle quand même... surtout avec cette récente affaire... hummmm oui. C'est pour bientôt.

Cher lecteur donc, qui me lisez avec amour et commentez assidument à chacun de mes posts, (hum-hum-hum..) je voudrai commencer par...
Et bien par demander ce que veux dire "coming out", au juste ! (certain pourrait aussi se demander ce que veut dire "slow burn", mais je m'égare.) Coming out, si je rassemble bien mes quelques souvenirs d'anglais, ça veut dire sortie ! Faire sa sortie !

Et bien... dans ce cas-là au moins, l'expression n'est pas très pertinente... ^^
Aller, je me suis assez amusée, j'espère que vous aussi :)
Je me lance !

                     Je suis chrétienne !


Et oui, c'est ça, c'est ça, je suis chrétienne :D Et très fière de l'être, vous voyez, Jesus is my boss, tout ça, tout ça... Dieu et ma joie, Dieu et mon soutien, Dieu et mon guide... mais surtout ma joie ! :)
Alors souriez tous et faites vous des bisous, parce que Dieu vous aime ! Ouep.
J'aurais maintenant l'occasion de vous en parler souvent :)

Bon carême à vous tous <3


PS à tous ceux qui n'ont mangé ce soir qu'un bol de riz (ou une assiette en plastique de riz, avec beaucoup de poivre et d'ail dedans...), ou même à ceux qui ont jeûné : allez vous coucher tôt, la faim reviens vite ! ^^

mercredi 6 février 2013

Aujourd'hi est un grand jour

Héhé, mes amis, aujourd'hui est un grand jour ! Hé oui, aujourd'hui je vais... au spectacle... de JEREMY FERRARI !!!!! Yeaaaaaaaaah !! x)

Super trop coolissimus, j'espère que je vais avoir une bonne place (parmi les quelques 1400 places !!)

Je vous ferai possiblement un compte rendu du spectacle, de mes impressions, tout ça, un message plus long que celui-ci, mais là je dois partir en cours :)



Notez aussi que le 6 février, c'est aussi la date de sortie de Gambit en France, film que je veux absolument voir avec pleins d'acteur britanniquo-parfait <3

samedi 2 février 2013

La peur du vide

Salut à tous :)

Aujourd'hui je reviens avec un texte ! L'autre jour, j'étais en cours avec Mr Cuynet, prof de psycho clinique (même qu'il a fait plein de truc et que si vous tapez son nom dans google, vous trouvez pleins d'articles ! Et ouais !), et donc Mr Cuynet nous parlait des angoisses archaïques que connaissait le bébé au début de la vie. Quand il sort du ventre de sa mère, il est dé-contenancé (plus contenu), et il a peur du vide, l'impression de tombé, tombé dans le vide. C'est le traumatisme de la naissance, selon Otto Rank.
Et le prof nous disait que cette angoisse, il nous en restait quelques traces à la vie adulte.
Je ne sais pas s'il parlait exactement de ça, mais ça m'a rappelé ce texte que j'ai écrit il y a quelques mois... Attention, c'est un peu glauque :)





L’angoisse sourde me prend soudain les tripes, se diffuse et s’installe dans mon esprit. Je suis paralysée, passive dans mon propre corps, contrainte de suivre le fil de pensées désastreuses qu’elle m’inflige.

C’est le milieu de la nuit et je ne suis qu’à moitié consciente de ce qui se passe. Je crois que c’est ce qui me sauve. Vivre ça en pleine conscience me ferait peut-être perdre la raison. Mais c’est sans doute aussi à cause de cette demi-conscience qu’elle arrive à s’installer, perfidement…
C’est une angoisse sans nom. Indescriptible, non-verbalisable.
 
Sans être tout à fait terrifiant, c’est terriblement perturbant. Mon cœur bat douloureusement, coincé dans une cage de stress. Une cage… Car cette sensation me tient prisonnière ; je suis incapable, absolument incapable de penser à autre chose. Je me bats pourtant, me soufflant à moi-même, avec effort, de penser à ma famille, mes amis… ce qui me raccroche au monde. Mais mon esprit est trop occupé à penser sur le mode de la folie…

Qu’en dire, comment décrire l’indescriptible ?
L’impression que le monde autour de moi s’effondre, que je suis aspirée dans un trou noir. Je tombe en chute libre.
Je me sens devenir incroyablement minuscule, je rétrécis à un point inconcevable, et l’espace autour de moi grossi, grossi.
Je deviens un play mobil criard, posé sur un immense plateau quadrillé.
Je dois tourner les pages d’un immense livre qui voudrait me réduire en poussière.
Je dois faire face à une montagne de chiffres incompréhensibles. Il semble que ce soit vital que je comprenne.
Non. J’ai l’impression d’être confrontée à une question immense, démesurée, existentielle. Elle me fait peur parce que pour y répondre il faudrait remettre en question toute ma vie, mon existence même, mon humanité… 
Ou l’impression de regarder mon cerveau fonctionner à un moment ou je ne devrais pas, comme s’il n’avait pas conscience que je suis là…
Non. En fait, je ne sais pas.

C’est le peu que je puisse en dire au réveil. Un fouillis indescriptible, des images floues qui se dissipent rapidement, me laissant incertaine sur le souvenir qu’elles me laissent. Mais en y repensant, je suis ne plus angoissée. Je suis maitre de moi-même. Je suis… perplexe. Combien de temps cela a-t-il duré ? Une éternité. Ou une minute. Une seconde ? Peut-être quelques secondes seulement, d’une intensité et d’une profondeur abyssale…
Je crois que j’ai tout refoulé dans un tiroir au fond de mon esprit.


Je crois que…
L’espace d’un instant, j’ai connu la folie. Mais ma raison a repris le contrôle…

jeudi 31 janvier 2013

Thank you America :)

Today I'm crazy, I'll speak in english :p

That's for YOU, yes you american guys, who come on my blog even you don't post comments :) I see you on my statistics, that's funny :)
So. There is an other reason why I said "thank you". I say thank you to the genious Michael and Bryan (family names are too complexe ;p), who create the awesome Avatar serie !!! :D
I love Aang, and Zuko, and uncle Iroh, Katara and Sokka, oh, and Toph... In fact I love them all ! <3

And you, who is your favorite character?

So, I did that draw a few weeks ago cause I love Aang with his fire nation clothes :3
Aquarelle, again ! How do you find it?


clic clic to enlarge :)


dimanche 27 janvier 2013

Le petit Prince

J'ai dessiné ce petit bonhomme en décembre, pour une amie qui l'aime beaucoup.
Je ne sais pas pourquoi j'en ai dessiné deux, disons que celui dans l'arbre est plus onirique, plus libre... comme si c'était son âme en dehors de son corps? Ou comme si l'arbre était magique... Je ne sais pas trop, à votre libre interprétation ^^




Entièrement fait à l'aquarelle. Les contours au stylo noir bien fin.
Toute personne s'y connaissant un peu en aquarelle est chaudement invitée à me donner des conseils :)

jeudi 24 janvier 2013

Message à mon pirate belge

Mon commandant ! :)
Oui, toi, mon seul et meilleur Commandant ! Bienvenu sur mon blog :)
(C'est un blog de Troie, l'ennemi ne se méfie pas et ensuite, pof ! J’envahis leur cotes ! C'est très pratiques, cette nouvelle technologie, mon Commandant. Avec ça, j'ai déjà une vue sur l'Amérique !! Et oui >:p )

Bref, j'avais un petit message pour toi, un souvenir !
C'est pour te dire que si tu venais à te lasser de ton petit navire de location, le mien et toujours là, ta cabine et restée telle-quelle :D

Bois pour ton fier Capitaine, Commandant !!
Et envahis les cotes Belges pour moi, ce coup-ci. Fini la rigolade !



(La passeuse des mondes : J'attends toujours mes dessins scannés !!!!)

vendredi 18 janvier 2013

Before Warrior

Aujourd'hui, je vous introduis mon œuvre la plus ambitieuse, un roman ! J'aime bien le titre, mais je ne sais pas s'il est définitif... c'est un peu anglais quoi ^^ (Le titre étant donc "Before Warrior", comme le titre de ce poste :p)
Je ne le posterai pas en entier ici parce qu'une part de moi rêve toujours de le publier un jour ( un jour quand je l'aurai fini...), mais je vous en poste un petit morceau aujourd'hui, ce n'est ni le début ni la fin, ça doit faire parti du 1er ou 2ème chapitre ! Ainsi je me fais des potentiels acheteurs ^^

Le topo : C'est l'histoire d'une jeune fille qui étudie la magie dans une école de magie. Oh, ça vous dit quelque chose? ^^ Ma foi, j'ai tout fait pour me détacher du mon d'Harry Potter, de me distinguer, d'inventer un sytème scolaire différent... (que vous n'aurez pas beaucoup l'occasion de découvrir dans ce texte !) J'ai de nombreuse influence, mais j'espère néanmoins réussir à faire une œuvre originale ! :)
L'héroïne s'appelle Elisha, elle a 13 ans, elle n'a pas de baguette magique mais un médaillon, et un "Protecteur" : c'est un être de magie qui la guide et la protège dans son apprentissage. 
Je pense que je vous en ai assez dit pour vous mettre dans le contexte :) 

Vos commentaires me seront très précieux, autant en global que sur des points très particuliers, alors lâchez-vous sur les critiques, allez-y franchement ! :)

Je vous fais à tous un petit bisous, et je vous laisse lire ! <3
(Mademoiselle la passeuse des Mondes, ceci est partiellement du neuf, tu devrais lire :p)




La jeune fille courrait à travers la forêt, aussi vite qu’elle le pouvait malgré le poids de ses armes sur son dos et à ses hanches. Le vent qui soufflait à ses oreilles ne suffisait pas à étouffer le grondement de son poursuivant, semblant être de plus en plus proche de sa nuque. D’un bond, elle vira de côté, dévalant une pente raide d’arbrisseaux et de ronces, les bras croisés devant le visage, les dents serrées, jusqu’à un nouveau détour du chemin.  Il fallait rester calme, et surtout garder son souffle ; la bête était puissante mais peu agile, et elle détestait l’eau plus que tout. Elle devrait donc tenir jusqu’à la Boueuse, un peu plus au Sud.
Réalisant qu’elle venait de semer son adversaire, elle se redressa et s’accorda quelques secondes de répit, essuyant d’un geste son pantalon noir et sa cuirasse, et ramena ses cheveux sous la visière de son casque. Elle avait été bien avisée de garder toute sa panoplie de guerrière en partant, elle lui sauverait peut-être la vie aujourd’hui. Par prudence, elle tira de son fourreau son épée, prête à se défendre. Il n’y avait plus aucun bruit, ce qui n’était pas du tout bon signe ; soit la bête se tenait tout prêt et s’apprêtait à lui bondir dessus, soit elle l’avait vraiment perdu de vue, ce qui, étonnamment, n’était pas une bonne nouvelle : si elle ne la retrouvait pas, elle ne pourrait pas récupérer son médaillon.
Après quelques secondes de réflexion, elle fit la seule chose qui puisse attirer un dragon de terre : avec la lame de son épée, elle se coupa d’un geste sec au bras gauche, laissant un filet de sang couler sur le sol de feuilles mortes. Puis avec un soupir et sans chercher à stopper l’écoulement du sang, elle reprit sa course.

« Un dragon, maugréa-t-elle. Moi, Elisha Istar, parmi toutes les créatures que je devais croiser, il a fallu que ce soit un dragon ! Un dragon de terre qui plus est… S’il avait des ailes, il me chercherait des yeux depuis le ciel ! Je serais en sécurité dans cette forêt ! Penses-tu. Et moi qui lui indique volontairement ma piste…  Je suis complètement folle.

- Mais il t’a piqué ton médaillon, cocotte, ce n’est pas comme si tu avais le choix… marmotta une voix sarcastique, une petite voix sortant de sa poche.

- Conscience, tais-toi.

- Tu comptes peut-être rentrer à l’Ecole sans lui ? Tu serais bien maligne, dans une école de magie sans ton médaillon !

- Mais tu me tapes sur les nerfs, tais-toi ! Tu ne voulais pas non plus que je me taillade le bras entier pour qu’il me retrouve, si ?? J’arrive à la Boueuse dans quelques minutes, je vais l’attirer et le faire tomber dedans ! Et là… Je le neutralise, je le tue, je récupère mon médaillon et je rentre ni vu ni connu.

- Un jeu d’enfant.

- Conscience… TAIS-TOI !

- C’est bon, c’est bon… »

Dans sa poche, son compagnon, un mulot tigré, remua légèrement en maronnant dans ses moustaches. Il ne s’habituerait jamais à nom. Conscience… c’était un nom commun qu’on pouvait trouver dans le dictionnaire ! Et c’était totalement inapproprié ! Il avait d’abord cru qu’Elisha se moquait de lui, mais depuis plus de 15 jours à présent, elle en restait à cette version. La petite était une tête de mule, il devrait s’y faire. Mais au-delà de ça, il était inquiet. Très inquiet. Il être contre, entièrement contre cette expédition ! Elisha était-elle donc à ce point inconsciente ? Sous ses sarcasmes se cachait l’angoisse sourde de ne pas pouvoir la protéger. Il n’avait pas pu la dissuader de partir, ni de garder le médaillon. Il n’avait repéré le dragon que tardivement, quand celui-ci avait déjà pris le médaillon dans sa gueule. Évidemment, sa fougueuse protégée avait sauté sur le dragon avec son épée, et quelques coups bien placés avaient suffi à le mettre en colère. Et peut-être aussi à attiser sa faim. Conscience soupira. Il n’était incarné dans le monde physique que depuis deux mois, et il avait peine à extraire de lui une magie suffisamment puissante pour que les choses rentrent dans l’ordre. La seule chose qu’il avait pu faire, c’est les propulser elle et lui à l’autre bout de la clairière, leur permettant de s’enfuir. Mais il savait comme elle qu’ils ne pourraient pas fuir éternellement : si Elisha ne récupérait pas son médaillon, les conséquences seraient catastrophiques.

- Je voulais simplement te signaler la précarité de notre situation, reprit-il finalement, puisque sans ton médaillon tu ne peux pas espérer invoquer la moindre magie contre lui, et que le fait que les filles de ton dortoir « piaillent sans arrêt et sans raison » n’est définitivement pas une raison suffisante pour…

- Écoute, vieux mulot moralisateur, souffla-t-elle entre deux enjambées, soit tu te tais définitivement sauf pour me dire quelque chose d’UTILE, soit je t’ETRANGLE ! Compris ? De toute façon en temps normal je sais à peine faire léviter une gomme !! »

Coincé dans la poigne de fer d’Elisha, le mulot jugea prudent de ne plus rien dire. Celle-ci retira sa main avec humeur, arrivant justement à la Boueuse, une rivière appelée ainsi à cause de ses fonds terreux qui la rendaient continuellement brune. Avec tout ça, elle n’avait rien eu le temps d’inventer pour traquer le dragon. Elle allait donc se battre, avec son épée et sa hache, en faisant tout son possible pour l’acculer contre la rivière.

A cet instant, des craquements de feuilles à quelques mètres devant elle lui indiqua que son poursuivant l’avait retrouvé. Essuyant machinalement son bras, dont la plaie avait séché, elle prit la position, l’épée dans une main, un couteau dans l’autre.
Sans plus attendre, le dragon se jeta sur elle. D’un large coup d’épée, la jeune fille le fit dévier sur la droite, tandis que de son couteau elle lui érafla la patte avant. Sans perdre une seconde, elle s’écarta de quelques pas pour éviter la mâchoire de son adversaire puis repassa à l’attaque ; le dragon feula et, avant qu’elle ne le touche se dressa sur ses pattes arrières  et frappa violement son épée, qui tomba dans la Boueuse. Un instant interdite, elle  se reprit et fit passer le couteau dans sa main droite. Elle avait aperçu une seconde plus tôt  la pierre mordorée de son médaillon ; dans la gueule du dragon. Elle le fixa d’un œil mauvais. Celui-ci sembla soudain décidé qu’il avait assez joué avec sa proie, car il passa à une attaque beaucoup plus rapide, lui envoyant des coups de griffes redoutables, avançant sur elle toujours un peu plus. Elisha se défendait tout juste assez pour être encore en vie mais elle n’avait déjà plus le temps ni la force de passer à l’offensive ; la bête était bien trop puissante pour elle, malgré son ardeur. Quand, reculant d’un pas de plus, son pied trempa dans la rivière, elle sentit ses derniers espoirs la quitter. C’est alors qu’une petite voix suraiguë lui cria :

«  Ton casque, ton casque ! Il a peur de l’eau !!

Saisissant l’information en un quart de seconde, la jeune fille retira son casque et le plongea dans la rivière. L’instant d’après, elle envoyait l’eau sur la gueule du dragon, qui rugit de colère et de surprise, clignant des yeux. Elisha en profita pour remplir à nouveau son casque et lui en reverser le contenu sur les yeux, presque amusée de voir comme c’était efficace.

«  Prends-toi ça, vilaine bête ! Cria-t-elle dans un troisième jet d’eau.

Mais le dragon c’était dressé sur ses pattes pour éviter de se faire éclabousser, et il la dominait de toute sa hauteur, une lueur sauvage dans les yeux. Toutes griffes dehors, il élança sa patte avant sur elle.

« Ses pattes arrières, ses pattes arrières sont sans protection !

Remerciant mentalement son Protecteur, Elisha roula sur elle-même sous le ventre du dragon, évitant un coup de griffe mortel, planta son couteau dans l’une de ses pattes et tira sa hache dans le même mouvement, l’abattant avec l’énergie du désespoir sur l’autre patte. Dans une dernière roulade, elle se projeta à l’air libre, sans plus aucune arme, mais encore sauve.  Devant elle le dragon s’effondra au sol, dans une lenteur irréelle, ses pattes désormais incapable de le soutenir. A terre, cherchant désespérément à se relever, il fut pris de violentes convulsions, ouvrant la gueule à la recherche d’air. Son souffle était rauque et ses yeux hagards ; il n’avait plus rien de la bête féroce qu’il était encore quelques secondes auparavant.  Soudain, sa tête retomba au sol, inerte.

« A ton avis, ...  Murmura finalement la jeune combattante.

-  Il est mort, murmura-t-il. Tu l’as tué.

- Waw… Woooow. J’suis trop forte !!

- Moui bon, tu es couverte de blessures et tu as eu beaucoup, beaucoup de chance, c’est tout !

- Je suis. Trop. Forte…

- Va récupérer ton médaillon au lieu de dire des âneries ! » Soupira-t-il en levant les yeux au ciel.

Après quelques instants à rester immobile devant la carcasse du dragon, elle empoigna vigoureusement ses mâchoires et lui ouvrit la gueule. Les yeux plissés, elle cherchait son joyau quand, prise d’un terrible doute, elle murmura :

« Conscience… ces convulsions tout à l’heure… Il ne s’est quand même pas… étouffé avec mon médaillon ?? »

Le silence éloquent de son mulot confirma ses craintes, et elle lâcha les mâchoires, dépitée.

« Tout ça… pour rien ?!

- Aller ma p’tite, application pratique de tes cours de biologie ! Niveau 1, la dissection !

- Je n’ai PAS de cours de biologie.

- A la bonne heure, tu vas adorer ça ! Pas de scalpel ? Vas-y à la hache, tu n’as plus rien à perdre. Hop, on y va, on s’dépêche, on évacue les lieux au plus vite ! »

C’est donc dans un éclaboussement de sang et de terre qu’Elisha partie à la recherche de son médaillon, taillant à tout hasard vers l’estomac, la gorge, les poumons. Elle y plongea finalement les deux mains, frissonnant de dégout. Sa malheureuse victime n’avait certes pas mérité une telle boucherie. Soudain, triomphante, Elisha extirpa ses deux bras des poumons du dragon et les leva au-dessus de sa tête :

« JE L’AI !! »

- Oh-oh…  se contenta de répondre son petit compagnon, qui retourna se fourrer dans sa poche. La jeune fille se retourna, perplexe.

- Oups.

Juste devant elle se tenait une grande femme, les points sur les hanches, qui n’avait pas l’air contente du tout, et qu’elle reconnaissait aisément pour n’être rien de moins que sa directrice.

- MADEMOISELLE  ISTAR  ELISHA !!! Je viens d’apprendre que vous venez de FUGUER de ma prestigieuse école !!

- Je n’ai pas –

- SILENCE ! Vous êtes privée de sortie jusqu’à la fin du trimestre, jeune fille ! »

La sentence prononcée, madame Venena sembla se calmer un peu, reprit son souffle et examina son élève. Ses yeux s’écarquillèrent de surprise.

« Mais, mais qu’avez-vous donc fait ? Avez-vous vu votre état ?! Oh, Misère, ajouta-t-elle en apercevant le dragon, baignant dans une mare de sang qui s’écoulait dans la Boueuse. Avisant à nouveau la jeune fille, elle s’écria :

- Où est votre médaillon ?! »

Se redressant, elle le brandit sous les yeux de sa directrice, mais le moment était mal choisi pour faire la fière : ses bras était couvert jusqu’aux coudes de sang de dragon… et morceaux de chair peu ragoutant. Penaude, elle s’en débarrassa hâtivement et se mit à contempler ses pieds, n’osant pas ouvrir la bouche. Bien sûr, c’est juste quand elle en avait besoin que Conscience se taisait !
La directrice était livide. Son regard allait du médaillon, au dragon, en passant par la hache sur le sol…

- MADEMOISELLE  ISTAR  ELISHAAAA !!!

L’intéressée rentra la tête dans les épaules.

- Je ne sais pas ce que vous avez fait et je m’en contrefiche ! Mais il semble que vous l’ayez fait sans votre médaillon et c’est d’une bêtise sans nom ! Dois-je vous rappeler qu’avoir des ancêtres elfes et un nom prédestiné ne suffit pas pour faire de la magie ?! Juste ciel, vous entamer à peine le second cycle ! Vous êtes complètement inconsciente ! »

Intérieurement,  Elisha leva les yeux au ciel. On lui ressortait le coup de sa lignée à toutes les sauces. Même après des générations, les quelques elfes de sa lignée continuaient à briller pour leur incroyable puissance magique. En ce qui la concernait, ils étaient même parfois éblouissants, et tout le monde sait qu’il est très pénible d’avancer quand on a le soleil dans les yeux.

- Vous me copierez 100 fois « Je ne dois JAMAIS me séparer de mon médaillon magique » ! Et une dissertation détaillée sur les évènements de l’après-midi ! Et où est votre Protecteur ? »

- Dans ma poche... Murmura Elisha puisque celui-ci ne daigna pas montrer le bout de son museau.

- Il était censé vous protéger ! »

Tremblant sous le ton sévère de la directrice, le mulot se serra en boule dans la poche d’Elisha, qui répliqua :

- Mais il m’a aidé ! Sans lui, je –

- Suffit. Rentrons avant que les patrouilles écolos ne trouvent l’origine de tout ce sang qui coule dans leur rivière. Vous m’expliquerez tout cela dans votre copie.

Morose, Elisha s’avança dans le cercle que venait de créer la vieille dame autour d’elle, et, sur un claquement de doigt de celle-ci, elles disparurent.


Ce n’est sur le chemin de son dortoir que son mulot repointa du museau. Sans un mot, il grimpa à la verticale sur son pull, et se posa sur son épaule. Puis, au bout d’un instant, il lui murmura à l’oreille :

« Ça va ?

- Hum… On avait enfin réussi, comme des grands, il a fallu qu’elle arrive à ce moment-là… c’est moche.

- C’est vrai, c’est vrai… mais t’as vu ça comme tu lui as fait la peau à cette sale bête ? Trop balèze ! »

Elisha retrouva enfin le sourire, repensant aux péripéties de l’après-midi. Elle était touchée qu’il ne lui fasse pas la morale une fois de plus, alors qu’il n’avait certainement pas apprécié la sortie. Ni le ton qu’elle avait employé avec lui, pensa-t-elle en rougissant. Et puis elle savait que sans lui, elle ne s’en serait pas aussi bien tirée face au dragon, et cela la touchait encore plus qu’il ne le lui fasse pas remarquer.

« Merci Conscience, toi aussi t’es un big boss !

- Tu parles, j’ai fait ça toute ma vie, répondit-il en grimaçant. Tu… tu as eu peur toi ?

- ... Un peu. Et toi ?

- Oh que oui ! Alors ne me refait jamais ça !

- Mais toi, de qui as-tu eu le plus peur ? Du dragon ou de la directrice ? S’exclama-t-elle en rigolant.

- Je crois que c’est toi la plus effrayante ! » Répliqua-t-il.

Elisha secoua la tête, amusée, mais ne répondit rien : elle venait d’arriver à la porte de leur chambre, où la moitié de ses camarades de classe l’attendaient avec impatience, fort occupées à se vernir les ongles. 

«  Sur ce... bon anniversaire ! Et surtout bon courage ! » Chuchota le petit protecteur avant de se précipiter dans la poche de sa veste. Mais il n’était pas sûr qu’elle ait entendu, en dessous des cris suraigus des jeunes magiciennes ! Ils étaient de retour à la case : « les filles qui paillent sans arrêt et sans raison » !

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Ceci est donc le premier extrait que je poste ici. Vous ne pouvez pas le savoir, mais le jour de cette aventure, c'est l'anniversaire d'Elisha. Donc je comprends que ça semble tomber du ciel, mais normalement, avec le début du chapitre (que je n'ai pas encore écrit ;p), c'est plus clair !

mardi 8 janvier 2013

La colonie des Sang-Mêlé

Bonjour à tous mes futurs fans :D
(Uffff.)

Aujourd'hui, je viens vous parler d'un roman que j'aime beaucoup, une série en faire, de Rick Riordan : Percy Jackson ! Si vous ne connaissez pas, je vais vous expliqué par A+B pourquoi vous devriez au moins essayer de la lire.

Percy Jackson, c'est l'histoire de jeunes demi-dieux, les fils et filles des dieux grecs. En effet, un Dieu ne meurt jamais. Le monde change, mais les Dieux restent ! Donc, ils n'ont pas bien changés, ils continuent à aller fricoter avec des mortels :)
Percy et le fils de Poséidon, sauf que dans le premier tome, alors qu'il ne savait rien de son père, Zeus en personne vient l'embêter puisqu'il a perdu... son éclair, sa foudre divine. Et comme il aime pas trop son frère, qu'il suspecte de vouloir le renverser, il pense que c'est son fils qui a fait le coup.Voili voilà, c'est à peu près ça :)
La colonie des sang-mêlé, c'est l'endroit ou les demi-dieux sont formés pour essayer de ne pas mourir trop vite, puisque leur sang divins et susceptible d'attirer vers eux des bêtes pas franchement sympathiques, genre un minotaure, des furies, des chevaux démoniaques... Normal !

C'est bien écrit, il y a de l'humour, de l'amour, des recherches derrière quand même, des personnages attachants, des anti-héros... Je reconnais juste que c'est... de la littérature pour jeunesse... mouais. Mais bon c'est cool !

Cette série m'a bien inspirée, j'ai donc dessiné un "MEME", trouvé sur deviantart. C'est une série de questions auxquelles on répond par dessin. C'était en 2011. En voici quelques extraits :

Une sphinge était la femme du sphinx :)


Et il est bon parfois de rester dans "l'ambiance de l'époque" 8D


Pour ceux qui voudrait voir le MEME en entier, voici le lien : ici.
Attention par contre aux spoilers... et a une petite dose de niaiserie ^^

(Dès que je saurais mieux  utiliser blogspot, j'améliorerai ce post, il est pas tout comme je voudrai T.T)
Bonne soirée !



dimanche 6 janvier 2013

Bienvenue !

Bonjour à tous !

Aujourd'hui, j'ouvre officiellement mon blog :)
Je l'ai créé il y a un certain temps (hum, voyons, novembre 201... 2011?? Oh... huhu.) Je n'avais encore rien mis dessus, mais cette fois, je vais m'y mettre !

En effet, cette année, une fois n'est pas coutume, j'ai pris des bonnes résolutions ! Enfin, une, on va pas pousser non plus. Cette année, je dois écrire. Des textes, des nouvelles, des poèmes (ou peut-être pas des poèmes...), mais écrire régulièrement ! Je posterai ici le fruit de cette résolution ^^

A mon avis, c'est le début du succès qui m'ouvre ses portes, Muuuuhahahaaa !!


Je posterai aussi des dessins, même si après le passage du scanner, en général, ça devient moisi T.T
(bon celui là, ça fait longtemps longtemps longtemps ^^)

Bonne année à tous, bonne santé, joie et bonheur, tout ça... Je rappelle que ce ne sont pas des paroles magiques, c'est juste ce que je vous souhaite :)